Burnout, brownout, boreout... lequel te guette ?

Burnout, brownout, boreout, rustout, fadeout… Et si ce que tu vis avait un nom ?

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Tu es à la tête d’une entreprise.
Tu avances, tu portes ton monde à bout de bras, tu règles les problèmes, tu fonces.
Mais depuis quelque temps… tu sens que ça coince.

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Tu dors, mais tu restes fatigué.
Tu travailles, mais tu n’as plus de plaisir.
Tu réussis, mais tu n’es pas épanoui.

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Et si ce que tu vis n’était pas juste une mauvaise passe ?
Et si ton corps, ton énergie, ta tête te parlaient… et que tu ne les écoutais pas ?

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Aujourd’hui, on fait le point sur 5 formes d’épuisement professionnel qui touchent particulièrement les entrepreneurs comme toi : le burnout, le brownout, le boreout, le rustout et le fadeout.

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1. Burnout – Quand le feu s’éteint d’un coup

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Le burnout, c’est l’incendie intérieur. Le moment où ton corps, ta tête et ton cœur te disent STOP.

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L’Organisation mondiale de la santé le définit comme un syndrome lié au stress chronique au travail : épuisement physique et émotionnel, détachement, perte de performance.

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Chez les entrepreneurs, c’est malheureusement fréquent :

• Une étude publiée par la Harvard Business Review montre que 25 % vivent un burnout modéré, et 3 % un burnout sévère.
• Une recherche menée en France sur 273 entrepreneurs confirme que les exigences émotionnelles élevées augmentent considérablement les risques — surtout si tu te sens seul aux commandes.
• Le Poole College of Management évoque des symptômes comme l’insomnie, l’irritabilité, la fatigue physique, la difficulté à prendre des décisions… et parfois, l’abandon pur et simple.

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Tu te reconnais si :

• Tu es épuisé même après un weekend.
• Tu n’as plus de patience.
• Tu penses de plus en plus à tout lâcher.

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2. Brownout – Quand tu ne sais plus pourquoi tu fais tout ça

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Le brownout, c’est l’érosion du “pourquoi”.
Tu as encore de l’énergie… mais plus de motivation.

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Tu avances en mode automatique, tu fais ce que tu dois faire… sans plus aucun plaisir.

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Des chercheurs en gestion cités dans The Conversation rapportent que jusqu’à 40 % des cadres ont déjà vécu un brownout — souvent sans même mettre de mot dessus.

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Chez les entrepreneurs, ça arrive quand :

• Tu as réussi, mais ton entreprise ne te ressemble plus.
• Tu es occupé, mais plus du tout inspiré.
• Tu ressens un vide intérieur, malgré les succès extérieurs.

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Tu te reconnais si :

• Tu te demandes de plus en plus : « À quoi bon? »
• Tu regardes ton entreprise avec détachement.
• Tu fais les choses “parce qu’il faut”... sans y croire.

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3. Boreout – Quand tu t’ennuies dans ta propre entreprise

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Oui, c’est possible.

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Le boreout, c’est l’ennui professionnel. Il peut survenir quand tu n’es plus stimulé, quand ton entreprise tourne en rond, ou quand tu as trop délégué ce qui te faisait vibrer.

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Des études européennes — notamment publiées dans BMC Public Health — révèlent que le boreout peut provoquer fatigue mentale, perte de confiance, anxiété, et isolement.

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Tu te reconnais si :

• Tu sais exactement comment va se dérouler ta semaine, et ça t’ennuie.
• Tu ne te sens plus utile dans ton entreprise.
• Tu n’as plus aucun défi stimulant.

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4. Rustout – Quand la routine t’use doucement

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Le rustout, c’est l’usure par la routine.
Tu n’es pas épuisé. Pas stressé. Pas débordé.
Mais tu t’éteins tranquillement.

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On en parle peu, mais dans le monde du coaching, c’est un phénomène bien connu : tu restes dans ta zone de confort, tu ne te remets plus en question, et à force, tu perds ta flamme.

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Tu te reconnais si :

• Tu ne prends plus de risques.
• Tu évites les projets nouveaux, par peur de déstabiliser ton équilibre.
• Tu n’évolues plus — tu tournes en rond.

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5. Fadeout – Quand tu t’éteins doucement, sans bruit

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Le fadeout, c’est le glissement discret.
Tu es là, mais plus tout à fait présent.
Tu fais ce que tu dois faire… mais sans énergie, sans engagement.

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Pas de drame. Pas d’effondrement. Juste un désengagement progressif.

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C’est souvent le début de la fin si tu n’agis pas.

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Tu te reconnais si :

• Tu évites les décisions importantes.
• Tu as mis ton ambition sur pause.
• Tu avances en pilote automatique.

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Tu n’as pas à continuer comme ça

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Reconnaître ces formes d’épuisement, c’est déjà un acte de courage.
Tu n’es pas faible. Tu n’es pas “moins bon” parce que tu traverses une période difficile.
Tu es humain. Et tu as le droit de vouloir aller mieux.

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Et maintenant, tu fais quoi ?

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Tu as deux choix :
Continuer à faire semblant que tout va bien.
Ou reprendre le contrôle de ton énergie, de ta mission et de ta santé mentale.

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Chez Persévérance entrepreneuriale, on t’aide à :

• Faire le point.
• Reconnecter avec tes motivations profondes.
• Réaligner ton entreprise avec qui tu es devenu.
• Et retrouver le feu — sans t’épuiser à le rallumer seul.

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C’est simple. C’est humain. Et ça peut vraiment changer quelque chose.

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Parce que tu ne t’es pas lancé en affaires pour t’éteindre.
Tu t’es lancé pour vivre ta vision à fond. Et tu peux encore y arriver.

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